Quand je dis d'inspiration australienne, je parle de son créateur, pas des ingrédients. A propos , et complètement HS, saviez-vous que les plantations de bananes ont été récemment ravagées par un cyclone en Australie, et qu'un kilo de "narnies" vaut désormais la peau des fesses (16 dollars australiens)?
Crédit photo : www.foodshow.co.nz
Donc, merci à Bill Granger pour cette recette que j'ai modifiée en fonction du contenu de mon frigo et divisée par deux pour mon nouveau moule à tarte. Je vous livre sa recette (sans la pâte) en disant juste ceci : j'ai mis un peu moins de ricotta et un reste de crème à 15%, puis tout un yaourt nature pour compenser à peu près le volume de ricotta et de crème de la recette. Puis j'ai mis du persil plat et un peu de féta, pardon, de salak** léger, qui me restait sur le fond de pâte avant de verser la garniture.
une pâte à quiche (voir ici pour ma recette light)
deux-trois belles tomates (merci au papa de Guillaume pour ses tomates du jardin!)
2 tasses (à 250ml) de ricotta
1/4 tasse de parmesan fraîchement râpé
2 oeufs
1/4 tasse de crème
persil pour servir
1 jaune d'oeuf pour dorer la pâte (je ne trouve pas cela nécessaire)
Préchauffer le four à 200°C.
Trancher les tomates assez finement, les déposer dans une grande passoire et saler, laisser suer une trentaine de minutes.
Battre la ricotta, la crème, le parmesan et les oeufs, puis les verser sur la pâte étalée. Déposer les tomates sur le dessus et enfourner pour 30-40 minutes. (J'ai mis une demi-heure au four, puis étaint et laisser reposer dedans environ 15 minutes avant de la sortir). Laisser tiédir avant de servir. Cette tarte se déguste aussi très bien à température ambiante.
Petite précision post-scriptum : c'est une recette fabuleuse, riche et crémeuse, malgré les ajustements, sinon je l'ai déjà faite en respectant les proportions et c'est excellent!
Crédit photo : www.foodshow.co.nz
Donc, merci à Bill Granger pour cette recette que j'ai modifiée en fonction du contenu de mon frigo et divisée par deux pour mon nouveau moule à tarte. Je vous livre sa recette (sans la pâte) en disant juste ceci : j'ai mis un peu moins de ricotta et un reste de crème à 15%, puis tout un yaourt nature pour compenser à peu près le volume de ricotta et de crème de la recette. Puis j'ai mis du persil plat et un peu de féta, pardon, de salak** léger, qui me restait sur le fond de pâte avant de verser la garniture.
une pâte à quiche (voir ici pour ma recette light)
deux-trois belles tomates (merci au papa de Guillaume pour ses tomates du jardin!)
2 tasses (à 250ml) de ricotta
1/4 tasse de parmesan fraîchement râpé
2 oeufs
1/4 tasse de crème
persil pour servir
1 jaune d'oeuf pour dorer la pâte (je ne trouve pas cela nécessaire)
Préchauffer le four à 200°C.
Trancher les tomates assez finement, les déposer dans une grande passoire et saler, laisser suer une trentaine de minutes.
Battre la ricotta, la crème, le parmesan et les oeufs, puis les verser sur la pâte étalée. Déposer les tomates sur le dessus et enfourner pour 30-40 minutes. (J'ai mis une demi-heure au four, puis étaint et laisser reposer dedans environ 15 minutes avant de la sortir). Laisser tiédir avant de servir. Cette tarte se déguste aussi très bien à température ambiante.
Petite précision post-scriptum : c'est une recette fabuleuse, riche et crémeuse, malgré les ajustements, sinon je l'ai déjà faite en respectant les proportions et c'est excellent!
Comments
jadore le moule, tu l'as trouvé ou???!!!!!!
Bon, tout d'abord, je tiens à te féliciter pour combattre activement les ravages de l'alcool en cuisine. Ton,hum, "ami" a l'air, euh, "bien" sur la photo.Si les bananes australiennes ont grimpé en flèche niveau prix, je suppose que la Foster est, elle, proposée pour une misère à en juger par la mine hagarde de ton ami cuistot. espérons qu'il ait déjà préparé sa recette avant de se mettre minable à la mousse aussie.
Mais trève de plaisanterie, mon amie, je suis revenu pour te parler de mes vacances (voir mon post sur ta recette de brownie végétalien in english in the text, my friend, y'know what I mean?).Donc, après avoir abandonné chez Crocade mes deux auto-stoppeuses lesbiennes (j'en ai pleuré, mon amie, tu sais? l'amour semble m'abandonner comme une vieille chaussette en coton bleu-blanc-rouge dans un lavomatic polonais.Donc, je rprends le camping-car direction St -Tropez quand, vers Montélimar, je croise un groupe de pélerins pour Lourdes -en fait, un club du troisième âge bourré de paraplégiques qui attendent, euh, un miracle pour remarcher. Je suis dans la file d'attente de la supérette Shopi avec mon paquet de nougats (car oui, mon amie, je remange du nougat depuis que j'utilise Stéradent- et ils sont tous devant moi à jacasser sur le Seigneur et comme je suis en train d'écouter le best of d'Alain Barrière à donf je me mets à crier "come on, mama!" emporté par ma fougue et là, la petite vieille derrière moi qui est sourde croit que j'ai dit avoir été à Fatima et elle hurle à ses amis:
-Il a vu Marie à fatima!
Et là, mon amie, tout le monde pleure de joie et me porte en triomphe et j'ai dû abandonner mon camping car Rapido pour monter dans leur car direction Lourdes.Bon, je te laisse, je te raconterai la suite plus tard, j'ai fait une overdose de mirabelles hier soir. Bien à toi mon amie.
Juste un petit PS: j'étais en train de nettoyer ma statue d'Eddie Murphy grandeur nature quand j'ai ouvert ma porte à un homme en pleurs. Et quand je dis un homme, mon amie, c'est avec un grand H: bâti comme un athlète, beau comme un Dieu, intelligent et habillé fashion: ton frère adoré, adulé, chéri,vénéré. En pleurs, oui, car il a appris par mon intermédiaire que tu étais venu à Paris samedi sans le saluer, lui qui t'a ouvert grand les portes de sa luxueuse demeure des hauts de seine pour que tu puisses y loger ton peuvre petit bébé frigorifié par la rudesse d'un mois d'août peu clément.Je l'ai consolé à ma façon (en lui disant que telle avait été la volonté du Seigneur qui nous pousse parfois à faire souffrir nos proches d'une manière irréfléchie et cruelle) mais il ne voulait rien entendre. Il a voulu se jeter, de désespoir, par la fenêtre de ma salle de gymnastique mais j'ai réussi à la rattraper par ses bas de contention et ensuite, nous avons bu un pot de l'amitié, enroulé que nous étions, comme deux vrais amis, dans un pancho que j'avais volé à des musiciens péruviens à la stations Châtelet-les Halles. Ivre de chagrin mais ragaillardi par mes prpos rassurants -et ma reprise fabuleuse de "the sound of silence" en hébreu-il m'a quitté rasséréné mais déçu par toi, qu'il voyait comme une amie proche. Bon, comme il commençait à me fatiguer, je lui ai promis de l'inviter à une séance d'épilation dorsale au salon que fréquente aussi mon ami Demis Roussos. Bien à toi mon amie sans coeur et cruelle.
Eh oui! Je suis en verve aujourd'hui -sans doute du aux pilules d'éphédrine que j'ingurgite chaque matin avec mon Banania. Donc, comme j'en étais resté aux lamentations de ton frère éploré- encore plus déprimant qu'une intégrale de Derrick en version turque-, j'en reviens à mon séjour estival à, euh, Lourdes. pendant huit heures (8), j'ai voyagé avec mes amis retraités: chants et psaumes, compil de Daniel Guichard à donf(pourquoi faut-il donc que les vieux n'aiment que les chanteurs morts, tu peux me le dire, ma tendre amie?), DVD de "la chance aux chansons", j'étais à bout. en plus, j'ai fait une indigestion de rillettes Bordeaux Chesnel que j'avais voulu faire passer avec de l'ouzo (imagine le mélange, mon amie). Enfin, on arrive à destination, et les grabataires se précipitent vers la fontaine d'eau de Lourdes (censée avoir des vertus, hum, miraculeuses). Mais, problemo: je suis tellement crevé par leurs chansons que :
1/ j'aurais préféré assister à un mariage amish.
2/J'en peux pus, oui, j'en PEUX PUS! donc, ils sont obligés de me porter dans un fauteuil roulant jusqu'à la fontaine, et là, j'ai soif.donc, oui, je bois de leur fucking eau de lourdes, puis je me redresse de mon fauteuil parce que je suis tout courbaturé. Et là, c'est le miracle: tout le monde m'a vu me lever (car des centaines de gogos illuminés m'avaient regardé d'un drôle d'air croyant que j'étais Ugo tognazzi de la "cage aux folles" et tout le monde se met à crier au miracle; Il marche, il marche! qu'ils disaient en pleurant et en m'étreignant comme si j'étais la résurrection de Patrick Roy de "la roue de la fortune" circa 1987. J'ai pu rencontrer toutes les huiles du coin, et j'ai même eu ma photo dans le journal de ces malades.Bon, je te laisse,j'ai rendez-vous avec mes nouveaux friends de l'opus dei pour une partie de strip poker. Bien à toi mon amie, et keep the faith.