Lecteur, ne m'oublie pas! Je publie un billet de derrière les fagots. Et j'ai un problème avec le positionnement des photos qui se retrouvent toutes un quart de tour à gauche, va savoir! J'ai pris en compte les votes, dont le mien (la seule voix en faveur de cette couleur), mais comme on est plus nombreux à préférer le blanc ou s'en ficher, je vais le garder pour le moment, pour tout te dire, le blanc écrase moins les photos, qui ne sont pas super pro, il faut l'avouer...
Pardonne-moi mais j'ai eu l'appendicite et très peu de temps pour cuisiner (mais le temps de faire biscuits et gâteaux pour le goûter). Bisous
J'inaugure une mini-série sur le goûter. Peut-être que ça m'aidera à être plus régulière sur mon blog, je ne pense pas manquer à quiconque, mais je m'aperçois que malgré le peu de commentateurs, certains me lisent souvent, et puis j'aime bien mon petit blog, je farfouille parfois dans mes archives (car mes index sont laissés à l'abandon) ou je tape dans la case recherche en haut à gauche, à l'affût de souvenirs gourmands des trois ans et demi passés...
Pour moi, le goûter est un moment inratable, presque un rituel. Il m'arrive de faire des gâteaux ou cakes, mais j'aime bien aussi avoir sous le coude des petits biscuits à croquer avec une tasse de thé, que ce soit le matin ou l'après-midi, d'ailleurs, histoire de combler un petit creux ou d'assouvir une mini-frustration.
Quand j'étais petite, souvent on passait par la case boulangerie avant de rentrer à la maison ou d'aller chez ma grand-mère, qui nous gardait, pour un petit pain au lait et une barre de chocolat (du Milka si mes souvenirs sont bons). A la garderie, on avait parfois droit à une mini-barquette de Nutella -celle distribuée avec de minuscules spatules- avec un bout de baguette. Petit plaisir furtif, car chez nous, pas de Nutella pour raisons de convictions nutritionnelles, fondées, je l'admets.
Le mercredi, quand ma mère ne travaillait pas, on avait souvent droit à un bon gâteau -mon préféré, tout simple, au chocolat, entre les sorties au Luxembourg (le jardin, je précise que je n'habitais pas encore ici pour ceux qui ne me connaissent pas) et les émissions de Dorothée.
Plus tard, mon frère et moi nous empiffrions de biscuits du commerce divers et variés tout en regardant des séries télé (le Prince de Bel-Air, 21 Jump Street, et, même si on avait un peu passé l'âge, on appréciait les "Années Collège", série canadienne hyper éducative) après les cours et avant les devoirs.
Aujourd'hui, je ne rate toujours pas l'heure du goûter. Il paraît d'ailleurs que les femmes qui prennent un goûter à base de glucides lents sont moins enrobées que les autres. Un peu comme le petit-déjeûner, qui aide à tenir jusqu'au repas de midi sans craquer sur des snacks trop gras et sucrés, le goûter aiderait à tenir jusqu'au dîner, en zappant la case je-raide-mon placard-spécial apéro juste avant le repas parce qu'on est affamé(e). Je tiens tout de même à préciser que je ne suis pas un fil-de-fer, mais mon index de masse corporel est normal selon mon docteur.
Pour commencer, un goûter issu du génial Tambouille, dont j'ai déjà parlé. Et puisque je ne vais pas dévoiler toutes leurs recettes, je vous laisse consulter le livre, qui devrait être obligatoire dans toutes les cuisines. Il s'agit des carrés aux amandes et abricots secs. Il y a les amateurs des côtés dorés et croustillants, et ceux de carrés du milieu, plus tendres.
Je remplace juste l'amaretto par du Marsala nature, et il m'est arrivé de mettre des figues séchées et des noisettes à la place des amandes et abricots.
Pardonne-moi mais j'ai eu l'appendicite et très peu de temps pour cuisiner (mais le temps de faire biscuits et gâteaux pour le goûter). Bisous
J'inaugure une mini-série sur le goûter. Peut-être que ça m'aidera à être plus régulière sur mon blog, je ne pense pas manquer à quiconque, mais je m'aperçois que malgré le peu de commentateurs, certains me lisent souvent, et puis j'aime bien mon petit blog, je farfouille parfois dans mes archives (car mes index sont laissés à l'abandon) ou je tape dans la case recherche en haut à gauche, à l'affût de souvenirs gourmands des trois ans et demi passés...
Pour moi, le goûter est un moment inratable, presque un rituel. Il m'arrive de faire des gâteaux ou cakes, mais j'aime bien aussi avoir sous le coude des petits biscuits à croquer avec une tasse de thé, que ce soit le matin ou l'après-midi, d'ailleurs, histoire de combler un petit creux ou d'assouvir une mini-frustration.
Quand j'étais petite, souvent on passait par la case boulangerie avant de rentrer à la maison ou d'aller chez ma grand-mère, qui nous gardait, pour un petit pain au lait et une barre de chocolat (du Milka si mes souvenirs sont bons). A la garderie, on avait parfois droit à une mini-barquette de Nutella -celle distribuée avec de minuscules spatules- avec un bout de baguette. Petit plaisir furtif, car chez nous, pas de Nutella pour raisons de convictions nutritionnelles, fondées, je l'admets.
Le mercredi, quand ma mère ne travaillait pas, on avait souvent droit à un bon gâteau -mon préféré, tout simple, au chocolat, entre les sorties au Luxembourg (le jardin, je précise que je n'habitais pas encore ici pour ceux qui ne me connaissent pas) et les émissions de Dorothée.
Plus tard, mon frère et moi nous empiffrions de biscuits du commerce divers et variés tout en regardant des séries télé (le Prince de Bel-Air, 21 Jump Street, et, même si on avait un peu passé l'âge, on appréciait les "Années Collège", série canadienne hyper éducative) après les cours et avant les devoirs.
Aujourd'hui, je ne rate toujours pas l'heure du goûter. Il paraît d'ailleurs que les femmes qui prennent un goûter à base de glucides lents sont moins enrobées que les autres. Un peu comme le petit-déjeûner, qui aide à tenir jusqu'au repas de midi sans craquer sur des snacks trop gras et sucrés, le goûter aiderait à tenir jusqu'au dîner, en zappant la case je-raide-mon placard-spécial apéro juste avant le repas parce qu'on est affamé(e). Je tiens tout de même à préciser que je ne suis pas un fil-de-fer, mais mon index de masse corporel est normal selon mon docteur.
Pour commencer, un goûter issu du génial Tambouille, dont j'ai déjà parlé. Et puisque je ne vais pas dévoiler toutes leurs recettes, je vous laisse consulter le livre, qui devrait être obligatoire dans toutes les cuisines. Il s'agit des carrés aux amandes et abricots secs. Il y a les amateurs des côtés dorés et croustillants, et ceux de carrés du milieu, plus tendres.
Je remplace juste l'amaretto par du Marsala nature, et il m'est arrivé de mettre des figues séchées et des noisettes à la place des amandes et abricots.
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