Having noticed that the seaside resort where I spent my holidays wasn't exactly international, I haven't bothered translating my restaurant reviews as I don't think many of my English-reading fans (ha) will ever find themselves in La Grande-Motte.
Lecteurs fidèles, me voici de retour à Metz après quelques semaines de canicule bien méritées passées dans les profondeurs de la France et sur sa côte méridionale. Par bonheur je n'ai pas eu besoin de ressortir mon maillot de grossesse du fond du sac où il se terrait en attendant son heure, non, mais j'ai quand même failli faire craquer les coutures de mon bikini...
Vous l'aurez compris, j'ai profité de la mer dans une station balnéaire ultra-touristique, construite dans les années 70 et, nous dit-on aujourd'hui "inventée pour une vie meilleure" (sic). La Grande-Motte n'a certes pas le charme des petits villages côtiers de la Provence, mais étant très fonctionnelle, elle convenait parfaitement aux premiers ébats du Bébé (équipée pour l'occasion de ses couches spéciales baignade à motifs disney) dans l'eau de mer.
Chacun sait que dîner au restaurant dans des lieux touristiques en espérant bien manger est mission quasi impossible, et mes trois sorties à la Grande-Motte témoignent de cette difficulté, mais sur trois, l'une a sauvé la mise, donc je vous propose aujourd'hui de partager mes expériences gastronomiques en goguette.
Une grande déception fût un repas à huit au restaurant Le grand bleu sur la promenade, où le rapport qualité-prix s'est révélé médiocre et le service désagréable. Où on vous assure que les carottes en boîte servies en accompagnement du plat principal et qui rappellent la cantine sont des carottes fânes, le tartare saumon et mangue cache bien la mangue et les desserts dont le serveur nous assure qu'ils sont maison sont de type industriels. Et cela dans un restaurant qui joue la carte de la qualité par rapport aux concurrents de la promenade.
Une expérience mitigée fût un repas Chez Antoine, un bar-resto un peu en retrait de la promenade et donnant sur une pelouse. Le cadre est très agréable, moderne, urbain presque, les moules frites fût très décevantes, mais les assiettes-repas avec des seiches grillées pas mal, quant aux desserts, j'ai adoré une panna cotta coco sauce chocolat et un gâteau aux poires caramélisées.
La bonne surprise de cette semaine fût l'Estrambord, un restaurant situé en bordure du port de plaisance et qui joue très bien la carte branchée-urbaine.
Vous m'excuserez pour a qualité des photos qui sont soit trop sombres soit surexposées.
En entrée, "petit paquet d'aubergine comme à Mykonos" pour moi et carpaccio de poulpe pour le Papa.
Suivis d'une grande raviole aux gambas à la fondue de poireaux et de brochettes de gigot.
Enfin, une croûte au chocolat au coeur coulant épicé et un millefeuille (délicieux) à la figue en dessert.
Amis blogueurs, je me remets à vous lire dès que possible. Le Bébé est à ce stade où il ne faut pas cesser de la surveiller, de plus j'ai redécouvert les joies de la lecture pendant les vacances, alors je me ferai encore un peu rare je pense.
Lecteurs fidèles, me voici de retour à Metz après quelques semaines de canicule bien méritées passées dans les profondeurs de la France et sur sa côte méridionale. Par bonheur je n'ai pas eu besoin de ressortir mon maillot de grossesse du fond du sac où il se terrait en attendant son heure, non, mais j'ai quand même failli faire craquer les coutures de mon bikini...
Vous l'aurez compris, j'ai profité de la mer dans une station balnéaire ultra-touristique, construite dans les années 70 et, nous dit-on aujourd'hui "inventée pour une vie meilleure" (sic). La Grande-Motte n'a certes pas le charme des petits villages côtiers de la Provence, mais étant très fonctionnelle, elle convenait parfaitement aux premiers ébats du Bébé (équipée pour l'occasion de ses couches spéciales baignade à motifs disney) dans l'eau de mer.
Chacun sait que dîner au restaurant dans des lieux touristiques en espérant bien manger est mission quasi impossible, et mes trois sorties à la Grande-Motte témoignent de cette difficulté, mais sur trois, l'une a sauvé la mise, donc je vous propose aujourd'hui de partager mes expériences gastronomiques en goguette.
Une grande déception fût un repas à huit au restaurant Le grand bleu sur la promenade, où le rapport qualité-prix s'est révélé médiocre et le service désagréable. Où on vous assure que les carottes en boîte servies en accompagnement du plat principal et qui rappellent la cantine sont des carottes fânes, le tartare saumon et mangue cache bien la mangue et les desserts dont le serveur nous assure qu'ils sont maison sont de type industriels. Et cela dans un restaurant qui joue la carte de la qualité par rapport aux concurrents de la promenade.
Une expérience mitigée fût un repas Chez Antoine, un bar-resto un peu en retrait de la promenade et donnant sur une pelouse. Le cadre est très agréable, moderne, urbain presque, les moules frites fût très décevantes, mais les assiettes-repas avec des seiches grillées pas mal, quant aux desserts, j'ai adoré une panna cotta coco sauce chocolat et un gâteau aux poires caramélisées.
La bonne surprise de cette semaine fût l'Estrambord, un restaurant situé en bordure du port de plaisance et qui joue très bien la carte branchée-urbaine.
Vous m'excuserez pour a qualité des photos qui sont soit trop sombres soit surexposées.
En entrée, "petit paquet d'aubergine comme à Mykonos" pour moi et carpaccio de poulpe pour le Papa.
Suivis d'une grande raviole aux gambas à la fondue de poireaux et de brochettes de gigot.
Enfin, une croûte au chocolat au coeur coulant épicé et un millefeuille (délicieux) à la figue en dessert.
Amis blogueurs, je me remets à vous lire dès que possible. Le Bébé est à ce stade où il ne faut pas cesser de la surveiller, de plus j'ai redécouvert les joies de la lecture pendant les vacances, alors je me ferai encore un peu rare je pense.
Comments
Sympa le resto, au cas où.
Thalie, en effet, il y avait des méduses mais par bonheur on y a échappé!
A part ça, super la déco, très originale et rigolote, mais l'architecte n'a pas pensé à l'acoustique. Il y avait un groupe d'une vingtaine de personnes, mais il n'était pas déraisonnablement bruyant, et pourtant ça résonnait terriblement. On ne s'entendait pas. On est sortis avec une tête "comme ça". Bref, un restaurant à fréquenter quand il est désert ou alors en terrasse.